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Publié le 15/01/2021
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Pour une détection précoce des cancers de la prostate 

Traiter tôt les patients permet d’améliorer la survie, de réduire les effets secondaires des traitements et les coûts. La détection précoce du cancer de la prostate doit être adaptée au risque individuel du patient, évalué en s’aidant des calculateurs de risque.  

Changement de pratiques avant pose de BSU

Dans un avis daté du 1er octobre 2020, la Haute Autorité de santé a spécifié qu’en amont de l’implantation de bandelettes sous-urétrales pour l'incontinence urinaire d’effort, une concertation pluridisciplinaire doit être systématique, et non plus uniquement dans les formes complexes.

De nouvelles immunothérapies dans le cancer du rein 

Des immunothérapies, désormais en première ligne dans les cancers du rein métastatiques, permettent d’obtenir dans certains cas des réponses complètes et prolongées. Une chirurgie différée peut avoir sa place chez des patients répondeurs bien sélectionnés.

Les effets délétères de l'obésité en cas de transplantation

Plus de 30 % des patients inscrits sur liste de transplantation sont obèses. Si la survie des greffons est identique à celle observée en population générale, les reprises retardées de fonction sont plus fréquentes, tout comme les complications médicales et chirurgicales.

L’impact majeur de l’épidémie de Covid-19 sur les consultations

Selon une enquête française, 18,9 % des urologues ont remplacé les consultations physiques par des consultations uniquement à distance (téléphone, téléconsultations). Huit urologues sur 10 ont restreint leur activité de plus de 75 %.

Surveillance active, pas plus d'anxiété chez les patients

Il n’existe pas plus d’anxiété ou de dépression chez les patients avec un cancer de la prostate sous surveillance active que chez ceux traités par prostatectomie radicale ou radiothérapie.

Dr Isabelle Hoppenot

Source : Le Quotidien du médecin