Jusqu’alors moins étudiés que chez les jeunes femmes de moins de 26 ans, les facteurs de risque de nouvelle infection à papillomavirus après cet âge sont aujourd’hui mieux cernés : début précoce de la vie sexuelle, nombre de partenaires au cours de la vie, plusieurs partenaires au cours des six mois précédents, nulliparité et tabagisme. L’histoire naturelle de l’infection et de l’évolution vers des lésions du col semble comparable dans les deux groupes d’âge : mêmes délais moyens d’élimination des nouvelles infections persistantes, mêmes fréquence et temps de progression vers une lésion de haut grade. Un constat qui souligne l’intérêt potentiel de la vaccination chez les femmes plus âgées.
D’après Garland S et al, Australie et Bautista O et al., États-Unis
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