Il n’existe pas de définition claire et validée du syndrome de redistribution du tissu adipeux ce qui rend difficile l’évaluation de sa prévalence. Celle-ci varie d’une étude à l’autre de 1 à 56 % pour les lipohypertrophies, de 1 à 24 % pour les lipoatrophies et de 2 à 83 % pour toutes les lipodystrophies confondues. On distingue des
lipoatrophies périphériques avec fonte de la masse grasse au niveau des bras, des jambes, des fesses et du visage et des lipohypertrophies avec accumulation de graisse au niveau de l’abdomen, de la base du cou (bosse de bison), du tissu mammaire.
Un Pots encore mal connu
Marfan et enceinte
PID de la sclérodermie systémique
Les SMS du congrès SFNMI 2025