« Le plus grand danger serait qu’en ces temps de crise sanitaire, notre société d’exposition se permette de contrôler les individus en fonction des empreintes qu’ils laissent sur Internet. Imaginons le pire : si des places en service de réanimation hospitalier venaient à manquer, comme c’est le cas à New York, il serait techniquement possible pour les autorités d’établir des priorités entre les patients. De même qu’il serait possible de se servir des données personnelles des individus comme moyen de rationner les interventions des ambulanciers. »
Bernard Harcourt, auteur de l'essai La société d'exposition" parue en janvier 2020 (Seuil), in Libération du 16 avril 2020.
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