Selon les recommandations de l’AFU, en cas de prolapsus symptomatique, les prothèses vaginales peuvent être posées en deuxième ligne sur des patientes bien sélectionnées et par des praticiens bien entraînés. La voie abdominale doit être privilégiée. « Cependant, 1 patiente sur 30 environ est victime d’une complication et aura besoin d’une reprise chirurgicale, a expliqué le Dr Adrien Vidart (hôpital Foch, Suresnes), car en cas d’érosion, aucune amélioration spontanée n’est possible. » L’érosion est mécanique, et le risque de colonisation bactérienne élevé. Il faut alors retirer tout ou partie de la prothèse.
Prothèses vaginales
Des indications restreintes
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Publié le 07/01/2019
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Source : Le Quotidien du médecin: 9713
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