40 %
Selon une étude finlandaise, le risque de transition vers une maladie psychotique quatre ans après un premier épisode psychotique survenu dans un contexte de consommation régulière de cannabis s’élève à 40 %. Soit plus qu’en cas de consommation régulière d’alcool (risque de 5 %), de substances hallucinogènes (environ 20 %) ou d’amphétamines (environ 30 %).
L’efficacité de la S-kétamine se confirme
Une étude clinique française conduite chez plus de 150 patients hospitalisés pour crise suicidaire et publiée dans le BMJ confirme l’efficacité de la S-kétamine dans la crise suicidaire. Trois jours après avoir reçu le médicament, 65 % des participants du bras interventionnel de cet essai ne rapportaient plus d’idées suicidaires – contre 30 % des volontaires du groupe placebo.
Schizophrénie, le poids de la génétique
Selon des estimations présentées lors du congrès, 2 à 10 % des cas de schizophrénie pourraient s’expliquer par des anomalies génétiques de type délétion-duplication chromosomique. Et 5 à 10 % des malades présenteraient d’autres anomalies génétiques de type mutation d’un nucléotide.
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Brèves de congrès - CPF 2022
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