« L’arrêt ne porte que sur la brevetabilité », a estimé l’Agence de la biomédecine. Les procédures prévues par la loi bioéthique du 8 juillet 2011 sont inchangées. La loi a maintenu le régime d’interdiction avec dérogations (mais sans moratoire) de la recherche sur l’embryon et les cellules souches embryonnaires (CESh). Les chercheurs comme les Prs Philippe Menasché et Marc Peschanski regrettaient lors de l’annonce du premier essai clinique européen sur les progéniteurs rétiniens à partir de CeSH (« le Quotidien » du 26 septembre) le manque de lisibilité de la loi interprétée à l’étranger comme une interdiction.
La recherche reste possible
Publié le 20/10/2011
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Source : Le Quotidien du Médecin: 9029
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