Une méthode de délivrance innovante par patch des traitements antirétroviraux est en développement. Anthony Ham et coll. qui sont à l’origine de ce projet, indiquent que leur patch peut libérer plus de 96 % des médicaments contre le VIH pendant une semaine. Il offrirait aux patients une option non invasive, de nature à améliorer la qualité de vie, évitant les nombreux comprimés à avaler tous les jours. Il permettrait aussi une meilleure observance. Un autre avantage et pas des moindres serait une réduction des coûts des traitements.
Présentation à l’Annual Meeting of the American Association of Pharmaceutical Scientists (AAPS), Washington.
Le taux de micro/nanoplastiques dans l’athérome carotidien est associé à la sévérité des symptômes
Dans la cholécystite, la chirurgie reste préférable chez les sujets âgés
Escmid 2025: de nouvelles options dans l’arsenal contre la gonorrhée et le Staphylococcus aureus
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé