Il a remplacé au pied levé Agnès Buzyn au ministère de la Santé au mois de février. Olivier Véran a été d’emblée confronté à l’une des pires crises sanitaires qu’ait connu la France. Le neurologue (CHU de Grenoble), tout juste quarantenaire, a hérité d’une situation délicate. Il lui a fallu gérer la polémique sur les masques, les tests de dépistage, l’hydroxychloroquine, le traçage des patients Covid… et préparer le déconfinement de la France.
Olivier Véran a-t-il été pris les bonnes décisions ? Est-il transparent dans la gestion de la crise ? Est-il suffisamment à l’écoute des médecins à l’hôpital comme à la ville ? Regrettez-vous Agnès Buzyn ?… À vous de débattre…
Les députés s’accordent sur les cinq critères cumulatifs pour être éligible à l’aide à mourir
Fin de vie : l’article créant un nouveau droit à l’aide active à mourir a été adopté
Évaluation de compétences des médecins retraités, le débat s’enflamme : « Je voudrais bien connaître les résultats de ceux qui exercent »
Fin de vie : les doyens de médecine s’opposent à une formation obligatoire à l’aide à mourir