Le chef de l’État n’est pas une « machine à dire oui »

Publié le 27/10/2011
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Lors d’un déplacement à Carcassonne, Nicolas Sarkozy a plaidé pour la maîtrise des dépenses de santé en jugeant qu’il ne pouvait pas être « la machine à dire oui à tout le monde ». Le chef de l’État a longuement égrené les efforts financiers de l’État pour le système de santé depuis 2007. « Il y a une crise, je voudrais que chacun le comprenne (...) regardez ce qui se passe dans les pays qui n’ont pas fait les efforts au moment où ils devaient les faire », a poursuivi le président de la République, citant la baisse des dépenses de santé en Catalogne ou le recul des salaires et des pensions en Grèce.


Source : Le Quotidien du Médecin: 9033