Adolescent, Jacques Bérès se voyait chercheur en philosophie. C’est ce qui l’a conduit à préparer Normale Sup, à Louis-le-Grand, élève de Merleau-Ponty et condisciple de Régis Debray. Des foucades disciplinaires le feront bifurquer vers la médecine, renonçant à « cuber » (troisième année de préparation). Des études où il finira par se distinguer, remportant la médaille d’or de l’internat en 1972. Mais toute sa vie, il a conservé un rapport assez distancié avec le monde médical. Toujours amateur de provocation, il lance : « Moi-même, je ne me soigne jamais ». Et il proclame que « dans 40 ans, on sera mort de rire devant l’état actuel de notre science d’analphabètes ».
Une certaine distance avec la médecine
Publié le 08/11/2010
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8852
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