« Les agressions se multiplient dans nos services d'urgences et on ne peut s'y résoudre. Il y a quelques mois, un médecin de l'hôpital de Pontoise avait reçu un coup de couteau dans le dos. Il y a quinze jours, toute une équipe des urgences de l'hôpital Ambroise-Paré (AP-HP, Boulogne) a subi une agression dont les conséquences auraient pu être dramatiques. Ces gestes sont inacceptables. Chaque agression est vécue comme un tsunami par les équipes soignantes.. »
Communiqué de presse du 2 mars du Syndicat national des praticiens hospitaliers anesthésistes réanimateurs élargi.
L’Académie de médecine s’alarme du désengagement des États-Unis en santé
Un patient opéré avant le week-end a un moins bon pronostic
Maladie rénale chronique : des pistes concrètes pour améliorer le dépistage
Covid : les risques de complications sont présents jusqu’à trente mois après hospitalisation