Les choix thérapeutiques découlant de ces constats ne peuvent pas encore être rendus publics dans le détail, car un temps d’échanges est maintenant prévu avec les instances – Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), Haute autorité de santé (HAS), Direction générale de la santé (DGS) – afin de chercher à obtenir le plus large consensus et s’accorder sur les mesures d’accompagnement, en particulier sur des modifications d’Autorisations de mise sur le marché (AMM) semblant incontournables.
Croisons les doigts pour que cette démarche aboutisse, ce qui serait tout à fait novateur dans notre système de santé : un référentiel métier établi par une société savante et endossé par les autorités de santé. Et croisons encore pour y parvenir vite, car les patients patientent !
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