Le blocage du nerve growth factor (NGF) ou des récepteurs du NGF par des anticorps ou des protéines solubles est une piste importante pour la création de nouveaux antalgiques.
Après avoir arrêté le programme de développement de molécules d’anti-NGF en 2010 en raison d’effets indésirables articulaires aboutissant à la mise en place de prothèse totales, la FDA a recommandé sa reprise en mars 2013, mais avec une évaluation radiographique stricte pendant toute la durée des études et un dernier contrôle à 6 mois à leur issue. De plus, une IRM est exigée en cas de symptôme articulaire suspect. Les diabétiques seront désormais exclus des études en raison d’un mécanisme neuropathique pouvant expliquer les détériorations articulaires
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