Mise en place d’une coordination nationale des enseignements de la médecine de PMI, en formations initiales et continues, des professionnels médicaux et paramédicaux, et promotion de carrières universitaires
2. Fédération des médecins de PMI dans une instance non syndicale
3. Renforcement des partenariats de santé locaux (CPTS notamment)
4. Alignement du statut des médecins de PMI sur celui des praticiens hospitaliers
5. Respect de l’autonomie de la décision médicale et des prescriptions vis-à-vis de la hiérarchie administrative
Intégration de temps d’enseignement dans le statut de médecin de PMI
7. Ouverture de l’activité à des conditions d’exercice mixte(hôpital/PMI, libéral/ PMI…) par des contrats non précaires
Accueil d’internes en médecine générale, mais aussi en pédiatrie et en santé publique
9. Promotion de la recherche (études épidémiologiques, de santé publique, d’impact des plans proposés), avec des moyens adaptés, en lien avec les ARS et les partenaires locaux
10. Formation théorique intégrée aux diplômes de formation approfondie en sciences médicales (DFASM) et diplômes en études spécialisées (DES)
11. Intégration des stages en PMI dans la maquette du DES de pédiatrie, formation de maîtres de stage, ouverture de terrains aux internes de pédiatrie, renforcement de l’offre pour ceux de médecine générale. Un projet pilote est en cours dans certains départements.
12. Création d’une formation spécialisée transversale (FST) de médecine de l’enfant
13. Création de postes d’assistants partagés hôpital/PMI
14. Création d’un diplôme interuniversitaire spécifique de médecine de l’enfant en PMI
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024