96 % des parents acceptent une prescription systématique de préservatifs chez leurs adolescents de 15 à 18 ans, révèle une étude réalisée auprès de 298 d’entre eux en Gironde. Leur point de vue ne dépend ni de l’âge ou du sexe du jeune, ni de leur propre sexe ou de leur niveau d’études.
Des travaux entrepris à la Faculté des sciences médicales et paramédicales Aix-Marseille suggère qu’une femme sur deux, demandeuse d’asile, a été victime de violences sexuelles.
Une enquête entreprise à l’université Paris Cité auprès de 70 patients d’âge médian 36,5 ans ayant eu une téléconsultation vidéo (dans 55 avec leur médecin traitant) montre que près de la moitié d’entre eux estiment qu’une téléconsultation téléphonique aurait suffi. Pourrait-on davantage utiliser ce moyen de communication simple, notamment pour réduire la fracture numérique ?
Après une baisse en 2020, la consommation d’antibiotiques s’accroît de nouveau. Des études conduites par Santé publique France montrent que le concept d’antibiorésistance, que l’agence pensait initialement développer, est peu connu et mal compris du grand public. Les prochaines campagnes consisteront donc à délivrer des messages simples portant sur les modalités de fonctionnement et d’efficacité des antibiotiques, en partant de situations concrètes : grippe, rhume.
Le dépistage visuel systématique des enfants de 3 à 4 ans est justifié. Les données du service de santé scolaire de la ville de Paris confirment que les troubles visuels sont très fréquents. Plus d’un enfant sur cinq a dû avoir un avis ophtalmologique et encore plus chez ceux des écoles REP (23 %) et REP+ (28 %).
Le potentiel addictif de la prégabaline fait qu’elle ne devrait jamais être prescrite lors d’un premier contact avec un patient ; il faut privilégier les petits conditionnements à dosage faible. Le risque est accru chez les jeunes patients, et en cas d’antécédents psychiatriques, de consommation de drogues, de prescripteurs multiples, ou si la dose dépasse 600 mg/j.
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