Vivre dans un quartier mal famé précipiterait les troubles cognitifs chez des sujets âgés génétiquement prédisposés. Des Américains ont analysé les performances cognitives de 1 124 sujets de 50 à 70 ans.
Alors que le variant epsilon 4 de l’apolipoprotéine E (APOE) prédispose à l’Alzheimer, le génotype APOE était testé chez chaque participant. Les performances cognitives étaient comparables entre les sujets prédisposés génétiquement et vivant dans un environnement paisible et ceux non porteurs de l’allèle, quel que soit leur lieu de résidence. En revanche, les sujets porteurs de l’allèle APOE epsilon 4 des quartiers à risque ont présenté de plus mauvais scores cognitifs.
Arch Gen Psychiatry.2011; 68(3):314-321.
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024