Après le dramatique séisme du 6 février qui a dévasté de vastes régions en Syrie et en Turquie, Ankara a fermé le principal passage frontalier avec les zones rebelles syriennes qu'empruntaient jusque-là de nombreux malades vivant dans ces régions où les infrastructures médicales sont vétustes. Les autorités locales avaient l'habitude d'envoyer les personnes souffrant de maladies cardiaques, de cancer ou nécessitant des opérations chirurgicales complexes en Turquie, via ces points de passage. Depuis la fermeture, l'hôpital géré par l'ONG Syrian American Medical Society (SAMS) et basé à Idleb, le seul traitant les tumeurs cancéreuses dans la région, est débordé. Lundi dernier, la Turquie a fini par rouvrir le passage mais seulement pour les personnes atteintes de cancer…
CCAM technique : des trous dans la raquette des revalorisations
Dr Patrick Gasser (Avenir Spé) : « Mon but n’est pas de m’opposer à mes collègues médecins généralistes »
Congrès de la SNFMI 2024 : la médecine interne à la loupe
La nouvelle convention médicale publiée au Journal officiel, le G à 30 euros le 22 décembre 2024