Les défections en cascade des représentants des pouvoirs publics n’auront pas fait reculé Roger Rua, le président du SML, qui a affiché, le week-end dernier à Marseille, un positionnement de plus en plus opposant face à la politique du gouvernement lors de l’université d’été du SML. Dans son discours d’ouverture, prononcé devant un parterre d’un peu plus de 200 médecins, le président du syndicat s’est imposé comme le chantre d’une « alternative libérale au parcours des soins » qu’il a qualifié de « contraignant », « administré » et « imposé ». En jouant les Cassandre, Roger Rua a même prédit la « disparition programmée du paiement à l’acte ». Pour lui, les maisons de santé ne sont pas la panacée, « surtout si elles ne sont fondées, en amont, sur aucun projet médical ». Et alors que les praticiens territoriaux de médecine générale paraphent leurs contrats, Roger Rua propose, à la place, le « développement du compagnonnage ». Enfin, plus que les forfaits, le président du SML réclame une revalorisation du C pour « mettre fin », dit-il, « à la médecine low cost ».
À Marseille, le SML affiche des positions radicales
Publié le 04/10/2013
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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