Un pari réussi selon Claude Evin : les hôpitaux et cliniques franciliens réalisent en ambulatoire 48 % des 900 000 interventions chirurgicales totales. C’était l’objectif fixé par l’ARS d’Ile-de-France pour cette année 2015. Selon le président de l’ARS Ile-de-France, la chirurgie ambulatoire réduit les durées de séjour et les risques d’infections nosocomiales. Elle permet surtout de générer des économies pour l’assurance maladie, et donc pour l’assurance maladie. « Il fait peu de doute que le cap des 50 % sera atteint au cours de cette année même », a-t-il assuré, l’ARS comptant atteindre deux tiers des interventions totales en 2020.
Malgré cette accélération, les progrès demeurent lents, en comparaison avec d’autres pays tels que les Etats-Unis (60 à 80 %), le Danemark (74 %) et la Suède (69 %). Surtout les inégalités entre établissements en la matière subsistent. Ainsi, dans le programme d’actions de l’ARS d’ici à 2017 figure la création d’un observatoire régional de la chirurgie ambulatoire. Toujours dans ce cadre, les établissements participeront à un programme d’information et d’accompagnement.
Sur ce sujet, la bataille des chiffres se poursuit. Le Gouvernement table sur un milliard d’euros d’économies. Fin 2013, la Cour des comptes estimait le gisement potentiel de 5 milliards. En mai 2014, la FHF a contesté ces chiffres (570 millions). Et en janvier dernier dans un rapport, l’Igas jugeait « peu réaliste » l’objectif de 50 % en 2016.
Malgré cette accélération, les progrès demeurent lents, en comparaison avec d’autres pays tels que les Etats-Unis (60 à 80 %), le Danemark (74 %) et la Suède (69 %). Surtout les inégalités entre établissements en la matière subsistent. Ainsi, dans le programme d’actions de l’ARS d’ici à 2017 figure la création d’un observatoire régional de la chirurgie ambulatoire. Toujours dans ce cadre, les établissements participeront à un programme d’information et d’accompagnement.
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