L’aide active à mourir va-t-elle devenir un droit ? C’est l’enjeu des débats autour de la proposition de loi sur la fin de vie examinée au Parlement. Le texte déposé par Olivier Falorni (député PS de Charente-Maritime) divise au sein même de la profession. Pour certains médecins, l’aide médicale à mourir est un soin qu’il faut dispenser lorsque les douleurs psychologiques et physiques sont réfractaires à tout arsenal thérapeutique. Ce n’est pas l’avis de l’Ordre des médecins qui s’oppose à ce qu’un confrère participe activement à un processus d’euthanasie.
À l’instar d’autres pays européens, la France doit-elle légaliser l’aide active à mourir ? Faut-il au contraire se limiter aux soins palliatifs ? Ces deux approches sont-elles complémentaires ? Quel peut être le rôle du médecin dans l’aide active à mourir ? Est-ce un sujet de discussion avec vos patients ? Qu’attendent-ils de vous ? À vous de débattre…
Éditorial
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Tribune
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