Cher Généraliste,
Je ne peux pas m'empêcher de venir vous souhaiter un bon et grand anniversaire… Quelle longévité. Je suis un de vos premiers abonnés. Au moment de la fondation du journal, son directeur de l'époque a visité tous les médecins du 3e arrondissement de Paris, où j'ai habité jusqu'à ma retraite en 1998. Depuis, j'ai quitté Paris. Merci d'envoyer encore l'hebdomadaire à ceux qui, comme moi, à 88 ans, n'ont pas Internet ! Bien à vous.
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C’est vous qui le dites
« Les conseillers ordinaux nationaux ne représentent qu'eux-mêmes »
Quelles mesures pourraient sauver la santé ?
Éditorial
Et maintenant ?
Une obligation d’aller sur les bancs de l’école pour exercer !