Leon : coup de projecteur sur l’automatique
Calandre, phares et pare-chocs redessinés, habillage cuir alcantara, démarrage sans clé, frein électrique, régulateur adaptatif, reconnaissance des panneaux de signalisation, nouveaux coloris, la Léon se met au goût du jour. En sus, elle met l’accent sur les bienfaits de la boîte automatique. Si l’on en croit une étude commandée par Seat, les Français sont de plus en plus nombreux à céder à la tentation. Sur les trois dernières années, les ventes ont en effet progressé de plus de 80 % dans le segment occupé par la Léon.
Grâce à la DSG (double embrayage), la Léon dispose d’un atout maître, dont on mesure les effets bénéfiques non seulement en ville mais sur route. À part le surcoût (1 700 €), démonstration est faite de son efficacité, y compris en termes de consommation. Un argument de plus à porter au crédit de celle qui est à l’origine du renouveau de la marque espagnole.
Prix Leon 5 portes essence ou diesel : de 19 990 à 31 885 €.
Rapid Spaceback : un trois cylindres au menu
Malgré son habitacle accueillant, son coffre généreux (de 415 à 1 380 litres), son toit panoramique et ses coloris parfois osés, la Rapid Spaceback souffre d’un déficit d’image. À peine plus chère, l’Octavia lui fait manifestement de l’ombre. Pour briser les barrières de l’indifférence, elle emprunte à ses cousines du groupe le trois cylindres 1 litre TSI 110 ch, couplé à une boîte mécanique 6, en laissant à la version 95 ch, également livrable en boîte mécanique 5, le soin de porter la bonne parole de l’automatique. Pas trop intrusif, le bloc 110 ch avoue une consommation de l’ordre de l’ordre de 7,5 litres.
Deux versions, Monte Carlo et Drive, composent la gamme, laquelle inclut, de série ou en option, la dernière génération d’info-divertissement, la temporisation de l’éclairage extérieur, le freinage d’urgence en ville et la caméra de recul.
Prix Rapid Spaceback 1 3 cylindres essence 95 ou 110 ch : de 21 490 à 23 890 €.
Toyota Yaris : la carte hybride
La plus française des japonaises arbore un nouveau costume de scène. Boucliers, projecteurs, LED, moulures de bas de caisse, poste de conduite modernisé ne suffisent néanmoins pas à justifier l’appellation nouveauté (900 pièces changées). Devenu persona non grata, le diesel disparaît du catalogue. En lieu et place du 1,3 litre essence apparaît un 1,5 litre 110 ch essence, en théorie moins gourmand et polluant (109 g avec la boîte mécanique 6 et 105 g avec la CVT).
Championne incontestée de l’hybride (40 % des ventes en France), la Yaris enfonce le clou sans vraiment apporter de solution novatrice. Sauf en matière d’insonorisation et de suspension. Encore que, en mode thermique, les changements de rapports s’accompagnent toujours d’un patinage exaspérant. Avec 55 % de temps passé en mode hybride, un bilan consommations-rejets favorable (3,3 l et 75 g), la Yaris espère prolonger l’histoire d’amour qu’elle entretient avec ses fans. En fin d’année, une version sportive arrivera en renfort.
Prix Yaris hybride essence, 100 ch : de 19 450 à 21 850 €. Essence, 69 ou 110 ch : de 14 150 à 20 400 €.
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