NICHÉ à l’extrémité de Palm Juneira, des Palm Islands, archipels artificiels créés au large de la ville, l’hôtel a pour vocation de préserver la quiétude et l’intimité de ses hôtes. Si le luxe est présent à chaque instant, il reste discret et sait émerveiller tous les sens du voyageur, dans ce qui est le resort le plus intime de Dubaï. Déjà, les mille et une lumières qui l’accueillent en douceur s’il arrive le soir, donnent à l’entrée décorée de vasque et de marbre une allure féerique.
L’ensemble des bâtiments, qui s’organisent autour d’une vaste piscine (50 m), marie harmonieusement les architectures mauresque et andalouse, avec des décorations intérieures plus contemporaines. Les décorations sont tout de marbre sculpté, d’arabesques, de voûtes et de mosaïques inspirées de l’art marocain.
Le luxe est omniprésent dans les 64 chambres, où l’on se détend dans une ambiance douillette décorée de tentures bleues et indigo. On y est accueilli par un lit immense, un coin salon, un dressing, une salle de bains magnifique, dotée à la fois d’une baignoire sur pied et d’une petite salle de douche.
Les suites du Palm One & Only s’enorgueillissent d’être parmi les plus spacieuses de Dubaï : de 65 à 270 m2 pour la suite la plus spectaculaire. L’hôtel propose aussi 4 villas en front de mer (de 325 à 424 m2), disposant toutes d’une piscine privée et d’un personnel dédié.
Le moment détente est d’abord à la piscine sous les palmiers. On peut aussi aller se baigner sur la plage de sable fin (450 m de long), d’où l’on admire en nageant la « skyline » de Dubaï toute proche, spectacle original.
On s’abandonne ensuite à des mains expertes dans le Spa One & Only, atteint après une petite promenade dans les cours intérieures, entre les fontaines et les jardins. Un couple peut expérimenter un enveloppement au rhassoul, inspiré de la tradition arabe. Le très célèbre pédicure Bastien Gonzalez, un magicien des pieds, officie dans le Beauty Salon. Tout le monde y court.
Gastronomie.
Le nec plus ultra de la gastronomie est au rendez-vous, sous la houlette du chef triplement étoilé Yannick Alléno, de l’hôtel Meurice à Paris, secondé par le chef David Hemmerlé. Yannick Alléno a créé trois concepts de restaurants. Dans le Stay, c’est la table de partage, qui peut accueillir une douzaine de convives. On s’y régale d’un menu composé de plats signés, comme un foie gras accompagné d’une gelée à la betterave, un bar sauvage façon Dugléré, des raviolis de crevettes aux truffes et au chou. La Bibliothèque pâtissière permet aux gourmands de composer leur dessert en choisissant eux-mêmes les ingrédients de leur dessert, et d’assister en direct à la création en direct par les mains expertes de Marie.
Il a aussi créé le 101 (prononcer : « one O one »), construit sur pilotis, dont la carte suggère toute une sélection de mets allégés méditerranéens. Et le ZEST où les clients choisissent leurs ingrédients préférés, qui seront préparés selon leur goût sous leurs yeux dans les cuisines ouvertes sur salle.
Le Palm One & Only offre tout ce que l’on peut attendre de la villégiature de luxe, y compris un service discret et stylé. Il peut constituer en lui-même une destination de voyage.
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