Trois films français en vedette cette semaine. « Né quelque part » s’inspire de l’histoire de son réalisateur, Mohamed Hamidi, pour raconter la découverte de l’Algérie – et d’un cousin joué par Djamel Debbouze – par un jeune Français de 26 ans parti sauver la maison de son père. Dans « les Beaux jours », de Marion Vernoux, une Fanny Ardant sexagénaire et mariée avec Patrick Chesnais, a une liaison avec un quadra joué par Laurent Laffite. Une quasi-trentenaire obnubilée par la taille de ses fesses (une prothèse pour l’actrice, Marilou Berry), c’est « Joséphine », comédie pour filles d’Agnès Obadia d’après la BD de Pénélope Bagieu.
« Belle de seigneur », avec Jonathan Rhys Meyers et Natalia Vodianova, est une adaptation libre du roman d’Albert Cohen, par un diplomate devenu cinéaste, Glenio Bonder, qui rêvait du film depuis 25 ans et est décédé d’une maladie du sang alors que s’achevait la post-production.
Pour les ados, adulescents et amateurs de superproductions américaines, une nouvelle incarnation de Superman, « Man of Steel », de Zack Snyder, qui revient en 3D sur la jeunesse du héros (histoire signée Christopher Nolan) et « The Bay », de l’horreur signée Barry Levinson, avec une bactérie qui prolifère grâce à la pollution et ronge épouvantablement les humains.
Pour les curieux et cinéphiles, « A very Englishman », de Michael Winterbottom, raconte l’itinéraire de Paul Raymond (Steve Coogan), le roi de Soho, producteur de revues dénudées qui firent scandale dans l’Angleterre conservatrice des années 1950-1960. Et « Room 237 », documentaire qui recense les hypothèses sur ce que cache la chambre 237 du « Shining » de Stanley Kubrick.
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