MONSIEUR à son coupé, Madame aura bientôt son roadster. En 2000, lors de la présentation de la Mini de l’ère moderne, personne n’imaginait que la Mini donnerait naissance à une famille aussi nombreuse. Berline, cabriolet, coupé, clubman, countryman et prochainement roadster, la saga Mini continue. À la grande joie des fans de la marque anglo-allemande.
Le dernier-né, le coupé, peut apparaître comme anecdotique dans la gamme. Son allure de kart routier, son bossage de pavillon en forme d’ellipse, ses sièges sport, son becquet arrière actif – à partir de 80 km/h – et ses performances devraient cependant lui permettre de rallier quelques suffrages.
Le coupé Mini est à la fois marginal, macho et un brin égoïste, avec ses deux places. Paradoxalement, il est doté d’un coffre de bonne capacité équipé d’un couvre-bagages amovible. Véhicule plaisir, il assume sa condition avec brio sur route ou sur circuit, grâce à un châssis soigneusement étudié au service de motorisations pointues (notamment les versions 184 et 211 ch). Cerise sur le gâteau, il est livrable en coloris bi-ton et trois teintes de toit assorties de larges bandes.
En bref
Longueur 3,728 m, largeur 1,683 m, hauteur 1,378 m, empattement 2,467 m.
Volume du coffre : 280 l.
Contenance réservoir : 40 l.
Motorisations avec boîte mécanique 6, consommation moyenne, CO2, prix :
– Mini SD coupé 2 l Diesel, 143 ch, 4,3 l, 114 g : 27 050 et 29 200 euros ;
– Mini Cooper coupé 1,6 l , 122 ch, 5,4 l, 127 g : de 21 350 à 25 100 euros;
– Mini Cooper S coupé 1,6 l, 184 ch, 5,8 l, 136 g : 26 050 et 28 200 euros ;
– Mini John Cooper Works coupé 1,6 l, 211 ch, 7,1 l, 165 g : 32 700 euros.
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