Venu du Québec, « Gabrielle », de Louise Archamlbault, a séduit les spectateurs de nombreux festivals. Gabrielle, c’est une jeune fille atteinte du syndrome de Williams – comme son interprète Gabrielle Marion-Rivard –, qui découvre l’amour avec un garçon (un acteur professionnel) faisant partie de la même chorale composée de handicapés intellectuels.
Adapté d’un roman de Reif Larsen, « l’Extravagant voyage du jeune et prodigieux T. S. Spivet », tourné en anglais et en 3D par Jean-Pierre Jeunet, met en scène les mille aventures d’un garçon de 10 ans qui traverse une Amérique plus poétique que réaliste pour aller chercher le prix que lui vaut l’une de ses inventions.
Du côté des drames, « Omar », d’Hany Abu-Assad (« Paradise Now »), qui a pour héros un jeune Palestinien, un thriller autour du mur de séparation, avec amour, résistance et trahison. Et « Salvo », des Italiens Fabio Grassadonia et Antonio Piazza, grand prix de la Semaine de la critique, sur un homme de mains de la mafia sicilienne confronté à une jeune aveugle dont il vient de tuer le frère.
Les enfants ont rendez-vous avec un escargot qui court à grande vitesse (« Turbo », production de DreamWorks Animation) et les ados avec une jeune fille qui combat des créatures maléfiques (« The Mortal Instruments : la Cité des ténèbres »).
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