DÉVOILÉE en première mondiale au salon de Shanghai, la DS5 sera commercialisée en fin d’année en France (en Chine en 2012), quelques semaines seulement après la DS4. Issue du concept car C-Sport Lounge, elle confirme la résurrection stylistique amorcée avec la DS3.
Audace, innovation, Citroën renoue définitivement avec le passé. Celui qui fit la gloire de la DS. Les gènes de la marque s’expriment ici à travers la partie frontale, les flancs creusés, les larges surfaces vitrées et l’aileron de requin venant coiffer la vitre arrière.
À bord, le combiné, la console centrale, les sièges, les garnissages concrétisent la démarche qualité de Citroën, dont l’ambition est de faire de la DS5 son ambassadeur itinérant dans le monde. La mission assignée à ce resplendissant coupé-break-GT est périlleuse mais excitante : devenir une alternative crédible aux hauts de gamme allemands. Contrat que la C6 n’a que très partiellement rempli.
La DS5 (4,52 m) sera la première Citroën à disposer de la technologie « full hybrid Diesel 4 » (2 l, 200 ch en combinant moteur thermique et électrique, quatre roues motrices), annoncée sur les Peugeot 3008 et la berline 508. Compte tenu de la puissance délivrée, la limitation à 99 g des rejets de C02 constitue un petit exploit.
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