SUBARU ne s’en cache pas, le Trezia, fabriqué au Japon chez Toyota, est un clone du Verso S. Entre un Verso S et un Trezia, il n’y a donc que l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarette. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, le Subaru hérite des défauts (plastiques de qualité moyenne) et des qualités routières de son homologue.
Les quatre roues motrices et le moteur boxer ne figurent donc pas au menu comme sur les vraies Subaru. Cela dit, les quatre cylindres d’origine Toyota font largement l’affaire. Afin d’éviter la confusion, le Diesel 90 ch du Trezia ne reprend pas l’appellation D4-D, réservée au Verso S. En fait, ce qui différencie le Trezia de son voisin de « palier », c’est la face avant plus expressive (affaire de goût) et la forme des feux. Pour le reste, c’est blanc bonnet et bonnet blanc.
Véhicule destiné à pourvoir au remplacement de la petite Justy, le Trezia, plus vaste et plus fonctionnel, offre la peinture métallisée de série mais pas le GPS et la caméra de recul ; proposés dans un pack.
* En bref
Longueur 3 995 m, largeur 1 695 m, hauteur 1 595 m, empattement 2 550 m.
Motorisations, consommation moyenne, C02, prix :
– 1,4 l Diesel, 90 ch (5), boîte manuelle 6, 4,3 l, 113 g : 20 990 euros (4,4 l, 115 g, 5 ch, avec boîte robotisée 6 rapports : 21 990 euros) ;
– 1,3 l essence, 100 ch (5), boîte manuelle 6, 5,5 l, 127 g : 17 990 euros.
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