IL CARTONNE déjà. Avec la nouvelle version, il monte la barre d’un cran ! Que manquait-il donc au Tiguan pour attirer à lui les brebis égarées ? Une face avant en harmonie avec celle des autres membres de la famille Volkswagen ? Une broutille, certes. Voilà qui est fait.
Certains lui reprochaient sa suspension trop ferme. Message reçu cinq sur cinq. Il est désormais « fréquentable ». Et quoi encore ? Et bien il propose davantage de puissance (+ 10 pour le 2 l TSI), des rejets polluants maîtrisés, une version Track Line à transmission intégrale, dite « off road » à angle d’attaque supérieur (28 degrés), permettant d’affronter les pièges du tout-terrain dans des conditions de confort carrément bluffantes, pour peu que l’on sache un peu jouer avec les ornières sur les chemins de montagne.
La version deux roues motrices (18 degrés d’angle d’attaque), conçue pour les avaleurs de bitume, dispose pour sa part de trois niveaux de finition : Tiguan, Sportline et Carat. Largement de quoi couvrir tous les besoins du marché et conforter une image de compagnon accort.
Ce Tiguan est une vraie réussite. Tout au plus peut-on lui reprocher le dessin ultrasobre de sa planche de bord. Il faut bien le titiller, sinon il pourrait prendre la grosse tête ! Chez Volkswagen, c’est le sérieux qui prime. Doit-on s’en plaindre ? La qualité, l’ergonomie, la performance sont au rendez-vous. Que demander de plus, sinon des tarifs plus câlins. Quand on a le bonheur de plaire, on peut tout se permettre.
DJ et médecin, Vincent Attalin a électrisé le passage de la flamme olympique à Montpellier
Spécial Vacances d’été
À bicyclette, en avant toute
Traditions carabines et crise de l’hôpital : une jeune radiologue se raconte dans un récit illustré
Une chirurgienne aux nombreux secrets victime d’un « homejacking » dans une mini-série