Une grande tablette à petit prix
Commercialisée depuis la fin de l’année dernière aux États-Unis, la tablette 8,9 pouces (22,6 cm) d’Amazon, le Kindle Fire HD, est désormais disponible dans cinq pays d’Europe, dont la France (en même temps qu’au Japon). Une augmentation de production qui a permis à l’entreprise de Seattle de réduire les coûts de production et donc de nous faire bénéficier de prix plus avantageux : à partir de 269 euros pour le modèle 16 Go et de 299 euros pour 32 Go.
Conçue dans la lignée du précédent 7 pouces (199 euros) – même design qui offre une bonne prise en main, avec 560 g et 8,8 mm d’épaisseur et connectique identique avec un port micro USB pour la recharge, un port mini HDMI pour un branchement sur une TV et une sortie casque Jack 3,5 mm –, cette nouvelle ardoise, sous Android 4.0 Ice Cream Sandwich, se démarque avec son écran à la fois plus grand et doté d’une définition un peu supérieure au Full HD, de 1 920 x 100 pixels. L’autonomie est bonne, qui oscille entre 8 h 30 en usage vidéo, environ 10 heures en utilisation mixte et moins de 3 heures en jeu pur (ne pas attendre de performances 3D). Un très bon rapport qualité-prix pour une tablette faite pour lire et surfer sur le Web.
Démonstrations à l’appui
Entre tablettes tactiles, notebooks traditionnels et ordinateurs portables, le nouveau Chromebook Samsung (après le 550) doit se frayer un chemin en France, six mois après son lancement outre-Atlantique. Avec un poids d’à peine plus de 1 kg, une épaisseur de moins de 2 cm, une autonomie d’environ 6 h 30 – et un écran de 11,6 pouces (1 366 x 768 pixels) –, il est tout à fait apte à un usage nomade. Certes, sa mémoire est faible (16 Go), mais le constructeur coréen met en avant, outre la possibilité de l’augmenter via une carte SD, la mise à disposition, pendant deux ans, d’un espace libre de 100 Go sur Google Drive.
Alors qu’a été lancé le 8 avril, aux États-Unis, le Pixel, le premier PC portable 100 % made by Google, le Chromebook de Samsung fonctionne avec Google Chrome OS, les applications Google sont intégrées, le partage de l’ordinateur est facilité et les mises à jour sont automatiques.
Pour se rendre compte des possibilités de la « bête », laquelle est largement distribuée, en ligne ainsi que dans une dizaine de magasins FNAC de la région parisienne, au prix de 299 euros, on peut se rendre dans l’un de ces magasins pour assister à des démonstrations tous les vendredis et samedis jusqu’au 11 mai.
Les bonnes notes de Google
Google est également en pleine actualité avec le lancement de Google Keep, un service dédié à la prise de notes (texte, liste, photo et même son, via le micro du smartphone), en version Web (http://drive.google.com/keep) et en application Android (pour les mobiles équipés au minimum d’Ice Cream Sandwich 4.0, avant d’être directement accessible sur Google Drive).
Autant d’informations qui sont repérées facilement grâce à un code couleur dans l’affichage écran et qui, une fois sauvegardées, sont par la suite automatiquement disponibles sur tous les appareils mobiles et ordinateurs de bureau.
Un dock en 3D
Spécialiste de l’impression 3D et de la personnalisation des objets, prix de l’innovation au Consumer Electronic Show de Las Vegas en janvier dernier, le Français Sculpteo propose aux fans d’Apple un adaptateur universel qui permet d’utiliser l’iPhone 5 sur un dock d’ancienne génération. Il suffit d’avoir le connecteur Lightning Apple pour iPhone 5, puis de commander sur Sculpteo.com un adaptateur qui coïncide exactement avec l’emplacement idoine. Mieux encore, on peut sélectionner la couleur de ce dock en 3D et y faire graver un message. Fabriqué à la demande, l’adaptateur est livré sous 48 heures contre 13,40 euros en blanc ou 18 euros en couleur.
Un chargeur portatif
De plus en plus performants, smartphones et tablettes sont aussi de plus en plus gourmands en énergie. Pour ne pas se trouver démunis si l’on n’est pas à côté d’une prise de secteur, il est prudent de s’équiper d’un chargeur portatif. Dernier sorti, l’Icebang de Xoopar – compatible avec tous les smartphones du marché – est à la fois petit (6 x 12 x 1,2 cm) et efficace, car doté d’une batterie Lithium puissante (4 000 mAh).
En branchant simplement un câble USB (fourni), l’Icebang peut assurer de une à trois recharges selon le genre de mobile. Quatre leds indiquent quand le chargeur doit être rechargé, une opération qui prend de 3 à 4 heures sur le secteur, de 5 à 6 heures si l’on se connecte à un ordinateur. Autres atouts : un interrupteur permet de couper complètement l’appareil lors du transport et une attache en silicone de le fixer au smartphone lors du chargement. L’Icebang est vendu 44 euros avec une garantie de deux ans.
L’ampoule musicale en lumière
C’est un gadget, mais c’est aussi une prouesse technologique, signée de l’entreprise montpelliéraine AwoX. La Striim Light est une ampoule qui, en même temps qu’elle éclaire (l’équivalent de 40 W) permet de sonoriser un espace (jusqu’à 80 m2). Il suffit de la relier en Bluetooth avec un smartphone ou une tablette pour écouter, lorsqu’on appuie sur l’interrupteur et que la pièce s’allume, la musique stockée sur ces appareils, ou même la radio, via un haut-parleur de 10 W intégré (une télécommande est fournie pour couper le son la nuit !). Une idée lumineuse qui vaut ses 99 euros.
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