INTERVENANT aux Entretiens de Bichat, le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM) a affirmé qu’une carte professionnelle d’identification électronique était l’outil indispensable à la diffusion des technologies de l’information dans la pratique médicale quotidienne. Depuis le lancement de sa messagerie, le CNOM a en effet reçu 2 000 réservations de médecins libéraux et 500 de médecins hospitaliers, qui n’ont à l’heure actuelle pas de CPS pour s’authentifier. La solution : une carte professionnelle électronique unique délivrée à tous les médecins dès leur inscription au Tableau de l’Ordre et leur enregistrement dans le RPPS (Répertoire partagé des professionnels de santé). « Nous avons bon espoir que cette carte puisse être très rapidement diffusée », a précisé le Dr Jacques Lucas, vice-président du CNOM. Une fois, les tuyaux de messagerie mis en place, ils pourront permettre la dématérialisation de la prescription qui serait envoyée dans un serveur en lien avec le DP (Dossier pharmaceutique) où le pharmacien irait la chercher. Un groupe de travail sur la prescription électronique va démarrer avec l’Ordre des pharmaciens. Selon l’ASIP Santé, la carte professionnelle électronique s’appuiera sur les technologies des nouvelles cartes sans contact qui doivent arriver en 2011 pour remplacer les CPS.
Technologies de l’information et pratique médicale
Une carte professionnelle d’identification électronique pour remplacer la CPS
Publié le 04/10/2010
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
M.-F. P.
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Médecin: 8828
Face au casse-tête des déplacements, les médecins franciliens s’adaptent
Jusqu’à quatre fois plus d’antibiotiques prescrits quand le patient est demandeur
« Des endroits où on n’intervient plus » : l’alerte de SOS Médecins à la veille de la mobilisation contre les violences
Renoncement aux soins : une femme sur deux sacrifie son suivi gynécologique