Depuis le 1er janvier 2020, le recours à la mention « Non substituable » est encadré par de nouvelles règles d’usage. Désormais, les médecins ne peuvent exclure la substitution générique que dans trois cas de figure : marge thérapeutique étroite, chez l’enfant de moins de 6 ans lorsque aucun médicament générique n’a une forme galénique adaptée, et pour les patients présentant une contre-indication « formelle et démontrée ». Objectif des pouvoirs publics : renforcer le recours aux médicaments génériques.
Ces mesures sont-elles de nature à atteindre cette objectif, sans affecter la liberté de prescription des médecins ? À vous de débattre...
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