- MÉDECINE LIBÉRALE
- Établir un bilan de la convention sur le prix de la consultation médicale
- Conforter les deux piliers de rémunération : paiement à l’acte et sur objectifs de santé publique
- Mettre en place une concertation sur les dépassements d’honoraires
- Intéresser financièrement les médecins qui « dénichent des économies » dans le système
- Revaloriser la filière de médecine générale au cours des études instaurer des stages plus précoces
- Alléger les contraintes administratives
- Mettre le dossier médical sur clé USB
- DÉMOGRAPHIE, PERMANENCE DES SOINS
- Préserver le droit « inaliénable » de la liberté d’installation
- Instaurer des services médicaux de proximité en amont des plateaux techniques des hôpitaux, pour lutter contre les déserts médicaux
- Création systématique d’un « sas » libéral en amont des urgences hospitalières.
- Ouvrir des places supplémentaires pour ceux qui échouent de peu au concours de fin de 1e année, assorties d’un engagement de service dans une région déficitaire
- POLITIQUE HOSPITALIÈRE
- Développer la politique d’hospitalisation à domicile (et de maintien à domicile)
- Modifier la loi HPST pour passer d’une logique gestionnaire et administrative à une construction en réseau sur le territoire
- SÉCURITÉ SOCIALE
- inscrire la règle d’or (qui interdit de voter un budget en déséquilibre) dans la constitution (les lois Sécu seraient concernées)
- Mettre en place des objectifs régionaux de dépenses d’assurance-maladie (ORDAM)
- S’inspirer du régime d’assurance-maladie d’Alsace-Moselle
- Coup de rabot sur les niches sociales
- SANTÉ PUBLIQUE
- Lutter contre la surconsommation de médicaments et les interactions médicamenteuses
- Créer une Autorité indépendante chargée de l’alerte, notamment en matière de santé et de sécurité sanitaire
- Initier un plan santé pour prévenir les conduites addictives des jeunes
Jusqu’à quatre fois plus d’antibiotiques prescrits quand le patient est demandeur
Face au casse-tête des déplacements, les médecins franciliens s’adaptent
« Des endroits où on n’intervient plus » : l’alerte de SOS Médecins à la veille de la mobilisation contre les violences
Renoncement aux soins : une femme sur deux sacrifie son suivi gynécologique