Le Pr Gilles Berrut, responsable du pôle gérontologie au CHU de Nantes et président de la Société française de gériatrie et de gérontologie (SFGG), explique :
« La gériatrie relève encore aujourd’hui d’un engagement involontaire alors qu’elle est promise à un bel avenir. C’est un combat a mené pour les jeunes générations qui doivent avoir accès à un DES. Malgré tout, la gériatrie attire les jeunes talents et nous observons aujourd’hui un changement de genre. Largement féminisée, la gériatrie attire pour son travail en équipe et l’étroite proximité avec les paramédicaux que son exercice implique au quotidien. C’est aussi un choix de vie, celui de s’accorder du temps personnel puisque bon nombre de gériatres exercent aujourd’hui à temps partiel. »
Face à un tweet raciste d’un membre de Reconquête, des médecins de l’Oise portent plainte
Prescription des aGLP-1, l’usine à gaz ? Après les médecins, la Fédération des diabétiques affiche son inquiétude
Quatre généralistes font vivre à tour de rôle un cabinet éphémère d’un village du Jura dépourvu de médecin
En direct du CMGF 2025
Un généraliste, c’est quoi ? Au CMGF, le nouveau référentiel métier redéfinit les contours de la profession