Les exacerbations compliquent d’autant plus la BPCO que cette dernière est sévère : en moyenne 2,7 par an pour les stades modérés (II) et 3,9 pour les stades sévères (III). Elle croit aussi avec le tabagisme.
La mortalité d’origine respiratoire augmente avec la sévérité de l’obstruction bronchique, attei-gnant jusqu’à 50 % des causes de mortalité chez les patients ayant un VEMS à 50 % de la valeur théorique et jusqu’à 60 % chez les patients ayant un VEMS < 40 % de la valeur théorique.
La sévérité et la mortalité croissent également avec les saisons, l'âge (> 65 ans), les comorbidités. La fréquence élevée des exacerbations sévères (≥ 3/an) est un facteur de mauvais pronostic.
L’étude ECLIPSE [13] a montré qu’il existe un groupe de patients souffrant de fréquentes exacerbations alors même que leur degré d’obstruction est encore faible (« exacerbateurs fréquents »).
L’âge élevé est un facteur d’augmentation du nombre d’exacerbations annuelles, du risque d’hospitalisation et d’allongement de la durée d’hospitalisation. Chez ces patients, la perte d’autonomie peut être rapide.
La mortalité d’origine respiratoire augmente avec la sévérité de l’obstruction bronchique, attei-gnant jusqu’à 50 % des causes de mortalité chez les patients ayant un VEMS à 50 % de la valeur théorique et jusqu’à 60 % chez les patients ayant un VEMS < 40 % de la valeur théorique.
La sévérité et la mortalité croissent également avec les saisons, l'âge (> 65 ans), les comorbidités. La fréquence élevée des exacerbations sévères (≥ 3/an) est un facteur de mauvais pronostic.
L’étude ECLIPSE [13] a montré qu’il existe un groupe de patients souffrant de fréquentes exacerbations alors même que leur degré d’obstruction est encore faible (« exacerbateurs fréquents »).
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