Vingt-deux anciens ouvriers d'une usine du groupe Pont-à-Mousson SA, à Andancette (Drôme), victimes de l'amiante, ont obtenu de la cour d'appel de Grenoble la condamnation de leur employeur pour « faute inexcusable ». La cour a notamment accordé une indemnité de 200 000 F à chacune des trois veuves, 100 000 F par ayant droit et 120 000 F par enfant mineur. Les anciens salariés, dont trois sont décédés des suites de maladies respiratoires, comme l'asbestose, reprochent à la direction de l'usine de les avoir exposés à l'amiante sans protection suffisante (« le Quotidien » du 4 décembre 2000).
Victimes de l'amiante : la faute inexcusable confirmée
Publié le 01/02/2001
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 6848
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