Annoncée par la fédération hospitalo-universitaire du diagnostic préimplantatoire de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (qui regroupe les hôpitaux Necker et Antoine-Béclère), la naissance de Lilou est un succès. Née à terme avec 3,4 kilos, Lilou est indemne d'une maladie génétique liée au chromosome X. Cette situation a été diagnostiquée aux moyens des techniques d'hybridation in situ sur une cellule embryonnaire après fécondation in vitro. Lilou est en quelque sorte la petite sœur de Valentin, premier enfant né après un diagnostic préimplantatoire (DPI), le 13 novembre dernier, à la maternité de l'hôpital Antoine-Béclère, de Clamart. La technique du DPI a été autorisée en France par l'arrêté du 20 juillet 1999, en application d'une disposition de la loi de bioéthique de 1994. Egalement autorisés à pratiquer le DPI, les Hôpitaux universitaires de Strasbourg ont fêté, de leur côté, une double naissance : un couple exposé à la mucoviscidose a donné le jour à des jumeaux indemnes de cette pathologie.
Lilou, le quatrième bébé né après un diagnostic préimplantatoire
Publié le 04/02/2001
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
Le Quotidien du Mdecin
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : lequotidiendumedecin.fr: 6849
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature