L'hôpital psychiatrique d'Allones, près du Mans, n'a pas réussi à éradiquer la bactérie responsable de la légionellose dans ses circuits d'eau chaude, malgré la provocation d'un choc thermique au début de janvier, a indiqué, lundi, la direction de l'établissement. Le choc thermique, censé éradiquer la bactérie en faisant circuler dans les tuyaux de l'eau portée à 70 degrés, a même engendré une prolifération de la bactérie, a expliqué à l'AFP l'un des directeurs adjoints de cet établissement, où aucun patient n'a pour l'instant présenté les symptômes de la maladie.
La bactérie avait été découverte en décembre 2000 lors d'un contrôle systématique de la qualité de l'eau. Au début de janvier, la direction a décidé de procéder au choc thermique, utilisé plusieurs fois avec succès les années précédentes.
C'est aussi lors d'un contrôle systématique dans les circuits d'eau chaude que la bactérie a été découverte au centre hospitalier de Dinan (Côtes-d'Armor). Des analyses ont été effectuées sur tous les malades et un cas de légionellose a été confirmé, mais « les jours du patients ne sont pas en danger », a précisé le directeur.
Légionellose à l'hôpital à Allones et à Dinan
Publié le 23/01/2001
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 6841
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