La commission mixte paritaire ayant échoué à réconcilier sénateurs et députés sur la nature de la future agence française de sécurité sanitaire environnementale (AFSSE), c'est la majorité de l'Assemblée nationale qui devrait finalement imposer ses vues. Chargée de fournir des avis indépendants sur les risques sanitaires provoqués par les altérations de l'environnement, l'AFSSE devra fédérer les compétences d'organismes existants comme le CNRS, l'INSERM, l'INERIS (Institut national de l'environnement industriel et des risques). Le sénateur Claude Huriet estimait au contraire que, pour être efficace, la nouvelle agence devrait être constituée à partir de l'INERIS (« le Quotidien » du 16 janvier). « La future agence sera en réalité un simple observatoire de la sécurité sanitaire », a-t-il regretté. Le camp opposé estime au contraire que l'orientation préconisée par la majorité sénatoriale impliquerait un changement de statut de l'INERIS et de ses personnels, risquant « une perte de temps et d'énergie ».
L'agence de sécurité sanitaire environnementale devrait se faire sans l'INERIS
Publié le 21/01/2001
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 6839
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