C’est en avril que l’association France Parkinson a demandé aux pouvoirs publics la mise en place d’un plan de lutte contre la maladie. Pour permettre une meilleure structuration des soins, l’association avait notamment réclamé la création d’un réseau Parkinson et de 12 centres de référence. « Seuls les réseaux peuvent répondre à l’objectif recherché d’amélioration de la prise en charge globale des patients favorisée par le décloisonnement entre professionnels de ville, établissements de santé publics, établissements privés, centres de santé, médecins du travail, professionnels du secteur médico-social et social », indiquait alors France Parkinson. « Le réseau de santé constitue également un outil d’amélioration des pratiques professionnelles et, plus largement, il contribue à maintenir voire à améliorer le niveau de qualité du service rendu », ajoutait l’association.
« Ces réseaux Parkinson devront prendre appui sur 12 centres de référence qui auront logiquement, par leurs activités, leurs ressources en termes de recours et leurs compétences propres, un rôle incontournable dans le fonctionnement et l’animation des réseaux Parkinson », précisait l’association, avant d’indiquer que ces centres de références, implantés dans 12 grandes régions, « pourront réduire les inégalités territoriales entre patients, permettre aux professionnels de santé de se former sur la maladie et de mieux communiquer entre eux pour faire un pas contre la maladie ».
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature