F ORTEMENT attaquée sur le terrain du haut de gamme, la série 5 hérite d'une face avant légèrement retouchée au niveau des optiques et des emblématiques naseaux, signature de la marque munichoise.
L'essentiel de l'évolution se situe toutefois sous le capot. Concrètement, cela se traduit par la disparition pure et simple du 2 l 150 cv (520i), du 2,3 l 170 cv et du 2,8 l 193 cv essence.
Pour ce qui concerne le diesel, le 3 l passe de 183 à 193 cv sur la série 5 (410 Nm de couple disponible entre 1 750 et 3 000 tours) mais comme toute règle a ses exceptions, le compteur de la série 3 reste bloqué à 183 cv.
Le bond le plus spectaculaire concerne la 530 essence qui prend 38 cv de muscle et 20 Nm en couple (300 Nm à 3 500 tours). Suit la 525 avec 22 cv supplémentaires. Pour sa part, la 520 s'enrichit de 20 cv de bonus.
Ce réajustement de la gamme moteurs de la série 5 devrait permettre à la marque munichoise de faire face à l'offensive menée de front par ses concurrents germaniques. En attendant l'arrivée d'une authentique nouveauté.
- 520 i : 2,2 l, 170 cv, 226 km/h : 226 500 F.
- 525 i : 2,5 l, 192 cv, 238 km/h : 243 500 F.
- 530 i : 3 l, 231 cv, 250 km/h : 302 000 F.
530 D : 3 l, 193 cv, 230 km/h : 257 500 F.
(Les prix indiqués concernent les versions pack.)
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature