Alors que les adhérents de la FEHAP réfléchissaient à l’avenir du secteur privé non lucratif à l’intérieur de la Cité des congrès de Nantes, des centaines de salariés manifestaient contre la « casse » de leur convention collective. « En 2003, les salariés ont déjà subi une refonte de la convention, explique Élisabeth Douaisi, de la fédération nationale de Sud Santé-sociaux. Alors que nous étions jusque-là au niveau de la rémunération de la fonction publique hospitalière, une infirmière avec 20 ans d’ancienneté gagnait ensuite 350 euros de moins par mois. » Le nouveau projet de révision veut aller vers « l’individualisation du salaire », selon la syndicaliste. En cause : le problème de financement des activités des établissements. « À la clinique Jules-Verne par exemple, qui dépend d’une autre convention mais qui sera attaquée aussi, la T2A [tarification à l’activité] ne couvre pas l’activité digestive », précise-t-elle.
Une convention collective de la discorde
Publié le 19/10/2010
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Source : Le Quotidien du Médecin: 8839
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