Il n’y a pas de pénurie au niveau national mais des problèmes d’approvisionnement locaux, a reconnu le ministère britannique de la Santé à la suite de témoignages de patients se plaignant de n’avoir pu être vaccinés par leur médecin traitant. Au Royaume-Uni, il n’y a pas de stock au niveau national, les vaccins étant commandés directement par les généralistes.
Les autorités travaillent avec les services de santé au niveau local pour que les régions qui ont des surplus viennent en aide aux zones déficitaires. Le gouvernement étudie aussi la possibilité de se servir des vaccins de 2009 non utilisés, la souche A(H1N1)2009 étant dominante. Sur les 50 morts déjà recensés, surtout des enfants et des jeunes adultes, 45 en ont été victimes.
IHU Méditerranée Infection : des progrès notables mais insuffisants, selon le Hcéres
Chikungunya : l’épidémie en baisse à La Réunion, nouvelle phase du plan Orsec à Mayotte
[VIDEO] Simulateur d’IRM, de la clinique à la recherche
Une santé mondiale sans la première puissance est-elle possible ?