« Le DMP, à force d’en parler, il faudra bien, ensemble, décider de le faire ».
Jean-François Mattei, ministre de la Santé, en 2002, deux ans avant la loi
« Le DMP fera économiser 3,5 milliards d’euros par an à l’assurance-maladie, en évitant les actes redondants ».
Philippe Douste-Blazy, ministre de la Santé et père du DMP, en 2004
« Le DMP est au point mort, mais je vais le relancer très vite ».
Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, en 2007.
« La gestion du DMP est un de mes plus grands regrets (..) Une autre possibilité s’offrait à nous, faire mettre en place le DMP par l’assurance-maladie. C’est ma faute ».
Philippe Douste-Blazy, ancien ministre de la Santé, en 2009
« J’ai un regret sur le DMP, celui de ne pas m’être fié à l’époque (en 2005, NDLR) à ma conviction première qui était qu’il fallait faire simple, ne pas s’engager dans une immense aventure industrielle, mais partir de la pratique des médecins ».
Xavier Bertrand, ministre de la Santé, en 2010
« Je ne veux pas tout reprendre à zéro, tout balayer, ce serait absurde. Mais le DMP va s’inscrire clairement dans la stratégie nationale de santé ».
Marisol Touraine, ministre de la Santé, en 2013
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