Le Syndicat national des jeunes médecins généralistes (SNJMG) lance un recensement de tous les internes ayant validé leur cursus mais qui ne peuvent soutenir leur thèse, en raison d’une nouvelle réglementation jugée plus rigide couplée à un manque de moyens.
Les jeunes professionnels concernés sont invités à remplir un questionnaire en ligne et à détailler les raisons pour lesquelles ils ont dû différer la soutenance de leur thèse.
Gâchis humain
L’organisation souhaite comptabiliser tous ces « privés-de-thèse » afin de fournir aux autorités responsables de ce dossier « des données précises », « quantitatives et qualitatives » sur ce qu’il considère comme un « véritable gâchis humain », une « aberration administrative en ces temps de carence démographique médicale ».
Une centaine d’internes en médecine générale pourraient ne pas pouvoir soutenir leur thèse dans le délai légal maximum de six ans pour valider leur 3e cycle.
« Pour ces médecins formés dans nos universités et hôpitaux français, une seule issue semble rester possible : s’exiler », commente, amer, le SNJMG.
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