– Mieux connaître l’état de santé en prison, avec notamment un suivi épidémiologique de la santé des personnes détenues.
– Développer la prévention et la promotion de la santé en prison, avec comme point phare, le suicide.
– Favoriser l’accès aux soins, avec, entre autres, évaluation de la mise en place du schéma national d’hospitalisation en prison et organisation de la continuité des soins à la sortie des personnes incarcérées.
– Instaurer un dispositif de protection sociale, en organisant l’articulation entre établissements de santé, pénitentiaires et CPAM.
– Mettre en place un plan de formation, notamment des professionnels de santé (médecins, dentistes, paramédicaux...) en intégrant cette problématique dans leur formation initiale.
– Assurer l’hygiène, la salubrité et la sécurité des établissements pénitentiaires.
L’affaire Le Scouarnec, miroir des défaillances des instances médicales
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