• Stéphane Joly, président de Cristers :« Les génériques permettent de faire près de 2 milliards d’euros d’économie à l’assurance-maladie. C’est plutôt bien, on n’y croyait peut-être pas tous à l’époque. »
• Philippe Besnard, directeur de la division officine et génériques chez Sanofi :« La qualité des génériques est aussi élevée que la qualité des princeps ; cet aspect est primordial. »
• Michel Chassang, président de la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF) :« Le médecin a conscience du poids économique sur son stylo. »
• Gilles Bonnefond, président de l’Union des syndicats de pharmacies d’officine (USPO) :« Toutes les polémiques qui arrivent par le biais d’experts méritent des procès, elles remettent clairement en cause l’AFSSAPS. »
• Antoine Sawaya, chef du département de l’évaluation de la qualité pharmaceutique à l’AFSSAPS : « Nous n’avons pas l’intention d’engager d’action juridique pour contrer la polémique actuelle sur les génériques. Cela nous montre que nous devons continuer à communiquer. Je rappelle que, dans l’enquête sur les génériques d’antibiotiques injectables à l’hôpital, aucun antibiotique cité n’est présent sur le marché français. »
• Yves Bur, député UMP : « En tant que rapporteur du budget de la Sécurité sociale, ce qui m’intéresse ce sont les économies. J’ai été le premier à dire qu’il fallait baisser le prix des génériques de 60 %. Finalement, on y arrive… »
• Jean-Jacques Zambrowski, économiste de la santé : « Il y a un problème de prescription car les médecins qui ont fait confiance pendant des années à une molécule, glisse leurs prescriptions vers de nouvelles molécules quand celle-ci est génériquée. Pourquoi ? »
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