Selon l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), le laboratoire américain Orexigen Therapeutics devrait savoir au plus tard « dans un délai de deux à trois mois » si la Commission européenne octroie à son médicament coupe-faim une autorisation de mise sur le marché (AMM).
L’Agence européenne du médicament (EMA) a en effet émis à la mi-décembre un avis favorable à l’octroi d’une autorisation de mise sur le marché du Mysimba, alors que son équivalent français, l’ANSM, s’était prononcée contre, émettant des doutes sur sa sécurité. Sauf surprise, ce nouveau produit devrait donc être commercialisé au printemps prochain. À moins que la France ne s’y oppose sur son territoire, ce qui supposerait une procédure longue à l’issue incertaine.
Santé mentale des jeunes : du mieux pour le repérage mais de nouveaux facteurs de risque
Autisme : la musique serait neuroprotectrice chez les prématurés
Apnée du sommeil de l’enfant : faut-il réélargir les indications de l’adénotonsillectomie ?
Endométriose : le ministère de la Santé annonce une extension de l’Endotest et un projet pilote pour la prévention