J'ai lu avec intérêt la lettre du Professeur Masseyef (« Euthanasie : j'envie la Suisse ! », Le QdM du 12/11/2019) que j'ai connu à Nice, où j'ai exercé la cardiologie, en libéral et à l'hôpital, durant 30 ans. Je comprends sa réflexion sur l'euthanasie volontaire ; peut-être la partagerai-je… Mais dans une époque de bouleversements de la société, légiférer sur l'euthanasie n'ouvrirait-elle pas la porte à des nombreuses dérives, que nous n'imaginons peut-être pas. Comme la fin de vie, c'est un problème qui doit se régler dans l'intimité, entre « quatre yeux ».
Vous souhaitez vous aussi commenter l'actualité de votre profession dans le « Quotidien du Médecin » ? Adressez vos contributions à jean.paillard@lequotidiendumedecin.fr .
Après deux burn-out, une chirurgienne décide de retourner la situation
La méthode de la Mutualité pour stopper 2,4 milliards d’euros de fraude sociale
Yannick Neuder lance un plan de lutte contre la désinformation en santé
À la mémoire de notre consœur et amie